Elle a été la compagne de Frédéric de Saint-Sernin de 2012 à 2014.
Entre septembre 2014 et début 2017, elle a été en couple avec Arnaud Montebourg. Ils ont eu ensemble une fille, Jeanne, née en septembre 2015.
Elle a une autre fille, Clara, née d’une précédente relation.Elle a aussi été la compagne de Thomas Piketty, contre lequel elle a porté plainte en 2009 pour violences conjugales, ce qui a valu à l’auteur un rappel à la loi. En 2019, après que Thomas Piketty a affirmé publiquement que ses propres filles ont été victimes de violence de la part d’Aurélie Filippetti, cette dernière porte plainte contre lui, pour diffamation. Thomas Piketty a finalement été condamné en mai 2022 à 1 euro de dommages et intérêts pour diffamation et à 3 500 euros de frais de justice.
Voilà pour le Wikipédia d’Aurélie, et encore y a pas tout. Yapatou, ce serait un joli nom de site pour compléter l’encyclopédie américaine en ligne qui dit certaines choses, mais pas tout. La surface, pas les profondeurs. Quoique, quand on saute de lien interactif en lien interactif, on arrive à reconstituer des choses, des communautés, des réseaux. Et là, ça devient tout de suite politique.
Le second CV qui nous intéresse, et encore, Yapatou, c’est celui de l’actrice Elsa Zylberstein, pierre d’argent en yiddish, qui qualifie tous ses ex d’« invivables » et « narcissiques ».
Elsa Zylberstein est la compagne d’Antoine de Caunes de 1997 à 2005, de l’humoriste et acteur Nicolas Bedos de septembre 2005 à début 2008, du journaliste et producteur Georges-Marc Benamou et de l’écrivain Yann Moix. […]
En 2017, elle est condamnée par le tribunal correctionnel de Paris à trois mois de prison avec sursis et 1 500 euros d’amende pour avoir renversé une dame de 89 ans alors qu’elle conduisait sans permis, et pour avoir pris la fuite après l’accident. Elle expliqua avoir paniqué, et s’est rendue à la police peu après.
Dans le CV amoureux d’Elsa, on remarque qu’il y a toujours un producteur ou un réalisateur (le dernier en date est juste assistant-réalisateur, mais Elsa a désormais 52 ans), mais le hasard, n’est-ce pas, fait bien les choses.
Du côté d’Aurélie, il y a aussi des hommes d’influence, mais politique, pas culturelle. Par contre, culturel, cet extrait langoureux du deuxième livre d’Aurélie l’est :
« Toi sous moi, dans une chambre volée, ta tête entre mes cuisses et ta langue glissant en moi, lapant ma vulve, accélérant ton rythme avec l’expérience de tes années passées, mais peut-être était-ce déjà un adieu, tant pis, il était bon, tu me léchais et je fondais longuement dans ta bouche... »
Il y a un second extrait un peu haché, du coup on ne sait pas lequel est le bon :
« Ta tête entre mes cuisses et ta langue glissant en moi, lapant ma vulve (…) tu me léchais et je fondais longuement dans ta bouche (…) j’écartais davantage encore mes jambes pour que tu puisses (…) m’embrasser aussi profondément que si mon sexe avait été ma bouche pour te répondre »
Fallait pas l’écrire, comme aurait dit Michel Muller dans sa rubrique Fallait pas m’inviter.
On rappelle qu’Aurélie a fait Normale Sup (mais pas à Paris), et que ces écrits époustouflants sont sortis du livre Un homme dans la poche, paru en mars 2006. Normalement, Aurélie étant une femme, le livre aurait dû être génial. Mais en scannant les critiques du site babelio.com, où les commentaires sont assez racés, on est tombés sur cette violence :
Et cette dame a été ministre de la Culture, donc y a hiatus. Qu’est-ce qui peut bien expliquer sa fulgurante ascension, alors qu’elle écrit comme un pied ? Selon nous, c’est la violence des hommes, ceux qu’elle a connus et quittés, ou qui l’ont quittée. Le plus méchant a l’air d’être l’écrivain économiste Thomas Piketty.
« Je pense que j'ai été crue, mais qu'ils n'en avaient rien à faire au PS. ce n'était pas grave, ce sont des choses domestiques » @aurelifil revient sur les violences conjugales qu'elle a vécues
La suite :
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Ce dernier s’est recasé depuis (2014) avec Julia Cagé, très en vue dans les cercles économiques de la nouvelle gauche (néolib). Les sœurs Cagé, diplômées jusqu’au cou, ont ainsi intégré les think tanks bien-pensants Terra Nova et de la fondation Jean-Jaurès. Julia est membre, nous dit Wikipédia, du conseil d’administration de l’AFP et d’une assoce dans le journal Le Monde. On n’est donc pas chez les bolcheviques, là. Et à notre humble avis, si Piketty était aussi violent qu’on le disait, la Cagé aurait tout de suite réagi. Mais peut-être vit-elle sous emprise, la nouvelle expression à la mode chez les féministes victimistes, après pervers narcissique, qui a un peu trop servi.
Que les pauvres se le disent : la révolution, le grand soir, ne sont pas pour demain avec le couple Cagé-Piketty, mais ils sont gentils. Quant à Aurélie, qui a réuni 8,64 % des électeurs lors des régionales dans le Grand Est en 2021, elle est redevenue prof à Sciences Po, bref, elle a dégringolé tout en bas de l’échelle. Tout ça à cause des hommes.
Notre petit mot à Julia Cagé
Julia bonjour, le financement citoyen des médias existe déjà, ça s’appelle le service public audiovisuel (SPA), et le problème, c’est qu’il a été privatisé par la gauche socialo-sioniste (l’autre, c’est la gauche islamo-gauchiste de Mélenchon). Ce même SPA qui t’invite généreusement sur ses antennes et qui nous ne nous invite jamais – alors qu’on contribue aussi au SPA – parce qu’on s’est trompés d’idéologie et qu’on n’a pas celle du SPA privatisé par les forces occultes dont on espère que tu fais pas partie, mais y a un doute, vu ton incroyable CV où que tu coches toutes les cases (nous zéro). On parle mal car on est de basse extraction, mais on fait quand même passer le message.
Et quand on voit la Devillers avec son masque oligarchique sur la gueule crier au fascisme à l’arrivée de Bolloré dans les médias mainstream alors qu’elle bosse pour le quasi-monopole médiatique de gauche, on a envie de ne pas rire...
Bonus émotion : les larmes d’Elsa, qui incarne la mère Veil
dans Simone, le voyage d’un siècle
À la suite d’une image d’archives où Simone Veil raconte sa déportation, Elsa Zylberstein est interrogée sur la manière dont l’expérience de la femme d’État croise sa propre histoire familiale. « Mon papa était un enfant caché. Pendant la guerre, il a été sauvé par des gens qui sont des Justes aujourd’hui », a expliqué l’actrice. « Ma grand-mère était Russe de Lituanie. Mes grands-parents ont été tués dans le ghetto de Varsovie et par la Shoah par balle. »
Elsa Zylberstein poursuit en expliquant l’une des raisons qui lui ont fait accepter ce rôle. « C’était aussi pour rendre hommage à ces gens-là, à mon père. Enfin, pas volontairement... », s’interrompt-elle sur le plateau de C à vous. La voix de l’actrice se coupe et ses larmes montent à l’évocation de ce drame qui a frappé sa famille et l’a empêché de connaître ses grands-parents. Rattrapée par son émotion, Elsa Zylberstein tente ensuite de continuer de répondre. « Ce n’était pas volontaire au moment où je l’ai fait. Ce n’était pas ça ma motivation. Pardon... Excusez-moi », ajoute-t-elle en essuyant ses larmes. Il faudra finalement que Pierre Lescure et Patrick Cohen prennent la parole, afin de laisser à l’actrice les quelques secondes nécessaires à ce qu’elle puisse reprendre le dessus. (Gala )